Prologue

Donc voila, je me lance... J'ai eu une folie, c'est d'écrire un prologue, sans plus... Donnez vos avis surtout^^

Submergée de remords et de regrets, elle enleva sa veste et regarda la hauteur de sa chute. " Je vais venir vous rejoindre, pardonnez-moi..."

...:-Ne faite pas sa, s'il vous plait...

Elle se retourna, regarda le garçon dans les yeux et se laissa tomber en arrière. Sans réfléchir, le garçon sauta lui aussi de la falaise.


Erika:- Allo, Emi, t'es où la?
Emiko:-Mes parents avaient oubliés qu'ils devaient me conduire, j'arrive on y est presque.
Erika:-Ok, mais grouille, tu va rater le meilleur.
Emiko:-Bon je te laisse et j'arrive.

Il ne restai que dix minutes avant d'arriver, l'excitation d'Emiko augmentait de plus en plus. Quand tout à coup, les pneus crièrent, la voiture fonça dans un arbre et plongea dans un lac. Emiko ouvra les yeux et aperçu une silhouette, puis s'évanouit. Elle se réveilla dans un lit d'hôpital. Sa vue était trouble, elle ne reconnaissait rien autour d'elle.

Une infirmière:-Vous êtes enfin réveillée, comment vous sentez-vous?
Emiko:-Je...Je me sens bizarre.
Une infirmière:- C'est normal, après avoir failli mourir d'hypothermie.
Emiko:-Hypothermie?
Une infirmière:- C'est bien ce que je le disais, tu ne te souviens de rien?
Emiko:- ... Je me rappelle seulement que je me rendais à une fête... Prés de la mer, à la falaise.

En suite le médecin arriva. Il ne prononça pas un seul mot et regarda Emiko droit dans les yeux. Quand il ouvrit la bouche, c'était pour dire: "Toutes mes condoléances"

Emiko:- Je vous demande pardon? Je crois que vous vous trompez de personne.
Une infirmière:- Vous avez eu un accident, la voiture de vos parents a sombré dans le lac, je suis vraiment désolé...
Emiko:- Non...Non...Je vous crois pas, NON!!!

Emiko criai et voulu se lever de son lit, le médecin dut tout de lui administrer un calment. Emiko se calma peut à peut et fini par s'endormir.

Une lumière blanche intense empêchait Emiko de voir correctement autour d'elle. Elle avançai sans savoir vraiment où elle allait. Doucement, la lumière s'atténua, la jeune fille aperçu des ombres, elle les reconnue et couru vers elles. Plus elle avançai et plus elles s'éloignaient."MAMAN, PAPA, ATTENDEZ-MOI!" Elle avait beau aller le plus vite possible, jamais elles ne les rattrapas. Le noir s'abattit et une voix commença à lui parler."Ne perd pas espoir, tout ira bien, fais moi confiance."

Emiko se réveilla en sursaut. Que voulait dire ce rêve? Et a qui appartenait la voix?; Elle repensa à ce que la voix de garçon lui avait dit.

Emiko:- Tu parle, c'est facile quand on a encore tout les gens que l'on aime, moi je n'ai plus personne...

Une larme glissa le long de sa joue. Une tristesse envahi la chambre et elle fondit en larme. Une infirmière se pressa prés d'elle. Elle la pris dans ses bras et essaya de la réconforté. Le lendemain matin, le médecin accompagné d'une autre personne venait lui rendre visite.

Le médecin:- Comment vas-tu?
Emiko:- Sa va un peu mieux.
Le médecin:- Je sais que ce n'est surement pas le bon moment, mais je te présente le notaire de tes parents.
Le notaire:- Toutes mes condoléances mademoiselle.
Emiko:- Merci, si je puis dire.
Le notaire:- Vos parents étaient sages et prévenants, ils avaient écrient leur testament et ils vous ont tout donner. L'argent, la maison, vous ne manquerez de rien, tout cela, après vos 18 ans, vous appartiendras.
Emiko:-Quand pourrais-je quitter l'hôpital?
Le médecin:- Cet après-midi, on t'a trouvé une famille bénévole le temps que l'on te trouve une famille d'accueil.

Elle regarda dans les yeux le médecin, puis se retourna en lui disant merci. Arrivé chez les Dupons, elle appris finalement que se serait finalement sa famille d'accueil. Marie, la mère de famille, lui présenta toute la famille. Le père s'appelait Jean et leur jeune fille s'était Julie, elle avait 15 ans. Sa commençai bien, enfin plus ou moins.

Marie:- Alors, quel age as-tu Emiko?
Emiko:- Vous pouvez juste dire Emi, je préfère. J'ai 17 ans.
Jean:- Bienvenue par mis nous Emi, j'espère que tu te plaira ici.
Marie:- Nous n'avons pas hésiter une seconde que le notaire nous a demandé par la suite si on ne voulais pas te garder définitivement. De plus, c'est prés de ton école, c'est chouette non?
Emiko:- Si vous le dites.
Jean:- Julie, veux-tu bien montrer la chambre d'Emi?
Julie:-Oui bien sur.

Sa chambre n'était pas mal, mais bon, comment peut-on penser à une chambre dans ses moments là. Emiko déballa ses affaires et se coucha sur le lit. Elle regardait le plafond quand elle se demanda pourquoi cela c'était arrivé. En y réfléchissant bien, elle savait que la mort de ses parents était de sa faute. " Si c'est pour y penser toute ma vie, autant en finir maintenant". Elle quitta la maison sans même prévenir Jean et Marie.Arrivée dans les bois, Emiko avança sans réfléchir et espérait arrivé au plus haut de la falaise. Après quelques minutes, elle pouvait apercevoir la mer.